«Brise marine»...still works. Books may look different, as do lamps and what paper gets defined as nowadays, but the sentiment still holds, even if it morphs some and has much different targets for Mallarmé's readers than for Mallarmé. This part especially resonates with me tonight:
La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres.
Fuir ! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres
D'être parmi l'écume inconnue et les cieux !
Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux
Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe
Ô nuits ! ni la clarté déserte de ma «lampe»
Sur le vide «papier» que la blancheur défend...
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